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 Présentation de l'univers des fées.

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Présentation de l'univers des fées. Empty
MessageSujet: Présentation de l'univers des fées.   Présentation de l'univers des fées. EmptyDim 19 Fév - 15:42

Présentation de l'univers des fées. Fee-foret


Qu'est ce qu'une fée ?

Une fée est un être imaginaire, généralement décrit comme anthropomorphe et du genre féminin (très rarement masculin), d'une grande beauté, capable de conférer des dons aux nouveau-nés, de voler dans les airs, de lancer des sorts et d'influencer le futur. L'idée que l'Homme se fait des fées varie en fonction des cultures et des pays : revenants, anges déchus, élémentaires ou même humains, minuscules ou de taille humaine, toutes sont étroitement liées aux forces de la nature et au concept de monde parallèle. Ainsi, la Befana, la dame blanche, la sirène, les dryades, la fée Morgane et une grande variété d'êtres et de créatures généralement féminines sont considérés comme des « fées ». Les Anglo-Saxons utilisent le terme de « fairies » pour désigner les fées, mais également toutes les petites créatures anthropomorphes telles que les lutins, les nains et les elfes.
Issues des croyances populaires et de mythologies anciennes, de la littérature inspirée du folklore et des contes celtiques ainsi que d'anciennes divinités païennes, les fées sont une création de l'Occident médiéval. Elles jouent des rôles très variés, si elles aident, soignent, guident des personnes ou leur fournissent des armes enchantées, d'autres fées sont plus connues pour leurs « tours », leur habitude de danser en cercle et d'enlever des personnes, en particulier les nouveau-nés humains qu'elles remplacent par un changeling, ou encore celle de déguiser leur apparence et ce qui les entoure. Les fées font partie intégrante des croyances populaires dans des régions comme l'Écosse, l'Irlande, la Bretagne (anciennement l'Armorique), l'Islande et la Scandinavie, où des précautions à tenir envers elles ont été popularisées par le folklore, et sont également connues des folklores allemand, français et wallon. Au xxie siècle, elles font toujours l'objet de croyances et de tous temps, des personnes ont affirmé les voir, communiquer avec elles ou invoquer leur aide.
Dès le xiie siècle, deux grandes figures féeriques se distinguent dans la littérature d'Europe de l'Ouest : la fée marraine et la fée amante. Bien connues de la littérature médiévale, les fées disparaissent des récits à l'arrivée de la Renaissance, pour réapparaître sous de nouvelles formes dans Le Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare, et les contes de fées qui modifient leur taille, leur apparence et leur symbolique. Les petites fées anglo-saxonnes sont popularisées durant l'époque victorienne, notamment par la peinture féerique. Elles sont désormais des personnages incontournables de la littérature fantastique et fantasy et du cinéma, entre autres grâce à Walt Disney qui les a largement popularisées aux États-Unis, à l'intérêt né des romans de Tolkien, et à des films comme Dark Crystal. Elles ont été abondamment étudiées et mises en avant par des spécialistes comme Katharine Mary Briggs, les illustrateurs Cicely Mary Barker, Brian Froud et Alan Lee, et l'elficologue Pierre Dubois à qui l'on doit, en France, la redécouverte du folklore qui leur est lié.

Ethymologie

Le mot « fée » provient du latin Fata, nom du genre féminin qu'il ne faut pas confondre avec le pluriel neutre de fatum, désignant une déesse de la destinée ou une Parque et de genre féminin. Alfred Maury dit que le vocable fata, utilisé par les Gallo-romains pour désigner les anciennes divinités, est resté dans la mémoire populaire.

Caractéristiques

La notion de « fées » a donné naissance à des mythes, des histoires et des études sur une très longue période11. Elles sont majoritairement vues comme des êtres anthropomorphes dotés de pouvoirs magiques, qui interviennent dans la vie des humains.
Selon la conception française et germanique des fées, ce sont des êtres féminins dotés de pouvoirs surnaturels influant sur la destinée humaine. Laurence Harf-Lancner propose la définition de « femme surnaturelle, habitante d'un Autre Monde qui délaisse son lointain royaume pour s'intéresser de près aux affaires des mortels et diriger leur destinée ».
La notion de fée dans le monde anglo-saxon est différente de celle qui prévaut dans la Francophonie. Le terme français « fée », repris en langue allemande, ne désigne pas toujours le même type de créature que les termes anglais « fairies » et « faeries ». Pour la spécialiste anglaise Katharine Mary Briggs, le mot fairies (« fées ») peut décrire toute créature magique (un cheval-fée, une biche-fée, etc.), l'ensemble du petit peuple, ou un type spécifique de créatures plus éthérées.

Esprits élémentaires et forces de la nature

Bon nombre de fées personnifient des forces de la nature et peuvent avoir pour fonction de la protéger ou de symboliser ses attraits comme ses dangers. Il est universellement reconnu que les fées ne sont jamais liées aux zones urbaines, mais plutôt à la nature, et particulièrement aux forêts, collines et points d'eau. Gaston Bachelard, notamment, a attribué aux Éléments naturels une existence autre que physique, ayant trait à leur symbolisme, à leur côté poétique et aux créations imaginaires qu'ils suscitent, comme celle des fées. Certains cultes à la nature sont à l'origine de croyances féeriques, un peu partout dans le monde.

Fées des eaux

Les fées des eaux sont universellement connues, et incluent les sirènes, les nixes, les ondines, la vouivre, les Marie Morganes, la Rusalka, Vila, et même Mélusine, Morgane ou la Dame du lac à l'origine. Claude Lecouteux cite un grand nombre d'êtres anthropomorphes cachées sous les eaux à guetter le passage d'imprudents pour les dévorer, dans le folklore germanique. Il semblerait que les naïades, les néréides et les sirènes de la mythologie grecque soient aussi à l'origine de la « fée des eaux ». La folkloriste Françoise Morvan a étudié ces créatures féminines qui, depuis des siècles, hantent les traditions populaires et donnent naissance à des récits étranges, qui ont eux-mêmes servis de source au romantisme européen. La mer primordiale étant un élément féminisé, la perception symbolique des rivières, sources et lacs est alors la même, celle d'un élément féminin qui influence la représentation des fées aquatiques comme superbes femmes à la longue chevelure flottante. Les fées des eaux ont toutes été diabolisées par le christianisme médiéval.

Fées des végétaux

Wistman's Wood, dans la forêt du Dartmoor, est un lieu que l'on dit fréquenté par les fées.
Les fées des végétaux, de la minuscule pillywiggin anglaise protectrice des fleurs à la dame verte de Franche-Comté, sont très nombreuses. Le culte des arbres est attesté avant la christianisation, preuve que le règne végétal est personnifié et considéré (en quelque sorte) comme « fée » depuis l'Antiquité. Alfred Maury assure que le respect religieux avec lequel les anciens Celtes pénétraient dans les forêts est dû à leur considération comme demeure des divinités. Les dryades et hamadryades, à l'origine divinités mineures du culte des arbres et de la forêt dans la mythologie grecque, sont parfois vues comme des fées. La blanche biche des légendes médiévales, qui apparaît au milieu des forêts et pousse les hommes à la suivre, est encore une fois liée aux fées puisque dans ce type de légende, la poursuite d'un gibier blanc (biche, cerf, lièvre ou sanglier) en pleine forêt mène à leur royaume.
Cette association des fées aux forêts est due au fait qu'il suffit d'entrer dans une forêt pour ressentir l'impression de « s'enfoncer dans un monde sans limite », d'après Gaston Bachelard. Pierre Dubois interprète cette sensation comme une ouverture aux rencontres féeriques.
La croyance populaire associe les forêts de Huelgoat, de Fouesnant, de Brocéliande (la forêt de Paimpont), du Dartmoor et du Devon (Wistman's Wood), ainsi que les landes écossaises et Irlandaises (telles Glendalough) aux demeures des fées, assurant que ces créatures s'y trouvent encore.


Apparence et nature des fées

Dans le folklore anglais influencé par l'époque victorienne (et contrairement au folklore français), les fées sont perçues comme de petits êtres ailés. Spirit of the Night de John Atkinson Grimshaw, 1879.
L'apparence et la nature supposées des fées ont largement évolué au fil du temps, et présentent des différences en fonction des pays. L'écrivain C. S. Lewis a noté que celles-ci peuvent être perçues comme des revenantes, une forme de démon, une espèce totalement indépendante des humains, ou même des anges.
Dans la littérature médiévale française, les fées sont des femmes parfaites qui ne présentent aucun attribut physique différent des humains : celles du xiie siècle apparaissent grandes, blondes, et d'une beauté sans égale. Elles sont distinguées davantage par leurs habitudes et occupations que par leur physique. Les ailes et la baguette magique sont des ajouts des auteurs de l'époque classique. Le Dictionnaire Bouillet, au xixe siècle dit qu'on les représente tantôt sous la figure d'une femme jeune, belle, couverte d'habits magnifiques, tantôt comme une vieille ridée et couverte de haillons, parfois armées d'une baguette magique, instrument de leur puissance surnaturelle. Enfin, sans être immortelles, elles ont une existence de plusieurs milliers d'années. La plupart du temps, les fées semblent porter des vêtements correspondant à leur époque, toutefois, les lais des xiie et xiiie siècles les présentent dévêtues, en relation avec l'érotisme de la fée amante. En Angleterre, les vêtements des fées sont verts, tout comme ceux des dames vertes en Franche-Comté.

Source : Wikipédia sur les "Fées"


Présentation de l'univers des fées. For_t_de_Paimpont

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